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Des diamants rouges aux enchères
Quatre
diamants rouges ainsi que 51 diamants roses et pourpres vont
être mis aux enchères par la compagnie Rio Tinto. Ils
proviennent de la mine d’Argyle Phénix en Australie.
Le plus gros de ces diamants rouges pèse 1.21 carat. Son nom vient d’un
passereau d’Amérique du Nord.Moins de 30 diamants rouges sont recensés dans le
Monde.Le plus gros diamant rouge provenant de la mine Argyle Phénix pèse 1.51
carat et a été vendu plus de 2 millions de dollars à un joaillier de Singapour
en octobre 2013.
Note du site : nous pouvons bien sûr vous trouver au meilleur prix des
diamants naturels de couleur.
Nous pouvons aussi vous renseigner sur certains de nos diamants naturels
couleur améliorée par hpht . Nous avons aussi réussi dans de rares cas à
améliorer certains diamants pour avoir une couleur rouge ou rose le tout
certifiée par le Gia
Vous serez agréablement surpris par les prix et par la beauté de ces diamants.
Les diamants de couleur ne connaissent pas la crise :
La
traditionnelle vente annuelle de diamants par le groupe minier RIO TINTO vient
d’avoir lieu : "the Rio Tinto’s 2012 Argyle Pink Diamonds Tender". Cette vente
de diamants roses est réservée à des acheteurs "sélectionnés". C’est la vente de
diamants la plus privée au Monde.
Les diamants roses de la mine Argyle en Australie étaient proposés lors de la
traditionnelle vente annuelle : "l’Argyle Pink Diamonds Tender". 90% des
diamants roses sur Terre proviennent de cette mine de l’Ouest de l’Australie. 56
diamants roses, dont deux presque rouges, 19 lots de diamants bleus, tous
extraits de la mine de diamants d’Argyle, étaient proposés à la vente. Cette
vente se fait sous forme d’enchères très privées. Les montants des acquisitions
ne sont pas révélés mais ils ont atteint des sommets. N’ayant plus confiance
dans les investissements traditionnels, les placements se dirigent vers les
pierres de haute valeur. Ils sont sécurisés par une demande bien supérieure aux
possibilités de production.
Plusieurs des diamants de cette vente ont trouvé acquéreurs en Inde et au Japon.
Les diamants roses sont très rares, mais les diamants dont la couleur va sur le
rouge le sont encore plus. Depuis 26 ans, la société Rio Tinto n’a proposé que
33 diamants de cette couleur.
Un diamant rose presque rouge de 1.32ct a été vendu. Il est classé : “Fancy
Vivid Purplish Pink”.
La grande classe ? Une voiture recouverte entièrement de diamants !
La grande classe ? Une voiture recouverte entièrement de diamants !
Par Norédine, le 27 mai 2012 à 15:03
Gemballa, un gars hyper connu dans le monde du tuning allemand, a
présenté récemment le moyen ultime pour massacrer votre voiture de luxe.
Il va créer une peinture brillante avec de vrais diamants écrasés
dedans. Pas des morceaux de métal, pas des morceaux de verre, mais des
pierres précieuses !
Sans surprise, Gemballa ne communique pas le prix. Il entre dans la
catégorie : « si vous demandez, c’est que vous ne pouvez pas vous
l’offrir ». Mais il nous donne quelques détails sur la création de cette
peinture. Il faut broyer des diamants pour qu’ils soient assez fins pour
être appliqués comme de la peinture, mais assez gros pour qu’ils
brillent sous la lumière. Et tant que la concentration de diamants dans
la peinture est importante, même une fine poussière de diamant peut
rester aussi brillante qu’une bague.
Comme les diamants sont un des matériaux naturels les plus durs, on peut
en déduire que ce revêtement rend votre véhicule totalement
indestructible.
La première bague toute en diamant à 53 millions d'euros : qu'en pense
t-on ???
publié le 24 mars 2012 sur www.be.com
Une bague unique au monde! Vous en rêvez? La société Suisse Shawish
Jewellery vient de la créer.
C'est une véritable oeuvre d'art. Et même si on aime, on compte: 53
millions d'euros tout de même! 150 carats, toute en diamants, pas
d'anneau en or ou argent, simplement du diam's, partout.
Certes cela ressemble plus à un mirage qu'à une réalité pour la majorité
des femmes du monde, mais rêver ne fait pas de mal, non ? Il a fallu un
an pour travailler cette bague qui vient d'être dévoilée lors d'un salon
du bijou en Suisse.
Votre fiancé mettra t-il les genoux à terre avec ce bijou ? Allez, on a
bien le droit d'y penser !
Le diamant israélien
Cette industrie, soutenue par des exemptions fiscales, représente déjà un quart
des exportations d'Israël. Mais elle commence à subir la concurrence de la Chine
et de l'Inde. Les spécialistes réagissent en misant sur le marketing.
C'EST l'endroit le plus sûr d'Israël. Une ville dans la ville, aux allures de
forteresse. Pour y accéder, il faut patience et docilité : franchir un détecteur
de métaux, déposer son passeport derrière un guichet, se faire dûment
photographier et badger, laisser fouiller son sac, abandonner son appareil photo
à la consigne, passer une grille, puis un sas de sécurité... Tout cela, à
condition, bien sûr, d'être invité et escorté par un professionnel. Une fois ces
formalités accomplies, bienvenue dans la caverne d'Ali Baba ! Au coeur de Ramat
Gan, un quartier d'affaires qui pourrait être la Défense de Tel-Aviv, quatre
tours (et une cinquième en construction) reliées entre elles par des passages
couverts sont entièrement dédiées au diamant.
Et des diams', il suffit d'ouvrir les yeux pour en voir scintiller. Sur les
tables de la salle de marché, dans les mains des traders, dans les bureaux de
tri et de sélection, dans des coffres-forts aux portes béantes... un cauchemar
de cleptomane ! Ainsi, ce diamant émeraude de 8,80 carats estimé à quelque 200
000 dollars, sorti de la poche d'un vendeur, qui cherche preneur ce matin-là.
Quand, par malheur, une pierre s'égare, un lock-out est déclaré et toutes les
issues sont bloquées jusqu'à ce qu'on la retrouve... Ou que son propriétaire en
accepte la perte.
À combien peut se monter la valeur de ces cailloux en circulation une journée
donnée ? Impossible à calculer. « Des milliards », estime Avi Paz, le président
de la Bourse israélienne du diamant. Il s'échange ici en tout cas pour 17
milliards de dollars de gemmes en un an. 15 000 personnes (dont 2 700
accréditées à la Bourse) travaillent chaque jour dans cette City du diamant. On
y trouve aussi des restaurants, un barbier, six banques, une synagogue, une
unité médicale de réanimation, une poste, un bureau des douanes, des cabinets
d'avocats et des sociétés de fret pour expédier les petites (ou grosses) pierres
dans le monde entier.
6,6 milliards de dollars d'exportation l'an dernier
L'industrie du diamant de la région s'est progressivement constituée à partir
des années 1930, avant même la naissance d'Israël. Elle a d'ailleurs contribué à
la fondation du nouvel État, apportant du travail pour les immigrants et un
débouché commercial extérieur. Aujourd'hui, le dynamisme de la place de Tel-Aviv
taille des croupières à la place traditionnelle d'Anvers, plombée par des impôts
élevés et des suspicions de blanchiment d'argent sale. À l'inverse, Israël a
octroyé au secteur une exemption fiscale sur l'importation de pierres non
taillées et de très faibles droits de douane sur les diamants polis. Du coup,
les exportations de ces derniers ont atteint 6,6 milliards de dollars l'an
dernier, soit près d'un quart des revenus commerciaux d'Israël. Près de la
moitié des diamants bruts du monde transitent par ici et plus d'une pierre sur
deux achetée aux États-Unis en vient. Au total, l'industrie diamantaire
israélienne réalise un chiffre d'affaires de 28 milliards de dollars. Pourtant,
le nombre de ses bénéficiaires décline.
À quelques pas du Diamond complex, un atelier de taille en étage dans un petit
bâtiment anodin. Ici, 65 personnes façonnent quelque 6 500 carats cumulés par
mois. Les pierres passent de l'un à l'autre dans le « briefke », une feuille de
papier plusieurs fois repliée. « Cela devient dur pour nous, il y a de moins en
moins de travail », témoigne un ouvrier arrivé de France voici une vingtaine
d'années.
De quelque 50 000 employés, l'industrie de la taille en Israël est tombée à
environ 2 000 personnes aujourd'hui. Seuls les plus gros diamants sont encore
polis ici, les autres le sont par une main-d'oeuvre meilleur marché en Inde ou
en Chine. « Depuis cinq ans, les Indiens sont devenus les rois », reconnaît Uri
Kopper, directeur du département diamant à l'Union Bank of Israël. Les ouvriers
s'y comptent en millions et Bombay est devenue une place d'échanges très
importante. Sans compter Dubaï, qui ouvre à son tour une Bourse spécialisée,
exemptions fiscales à l'appui.
Les Israéliens ne comptent pas se laisser abattre par cette nouvelle concurrence
mondiale. Pour contrecarrer la délocalisation de leur industrie, les
diamantaires l'ont intégrée à leurs plans. Beaucoup d'entre eux ont ouvert des
filiales en Inde ou en Chine. « C'est comme une paire de Nike : tout le monde
considère que ce sont des chaussures américaines mais personne ne pense qu'elles
sont fabriquées aux États-Unis », argumente le patron de la Bourse israélienne.
Moins rentable que Gucci
Après la production et le commerce, Tel-Aviv s'oriente désormais vers le
marketing. « Dans notre industrie, les marges sont faibles, 5 % en moyenne, 10 %
si vous êtes un génie. On est loin d'un vêtement Gucci. Au lieu de nous battre
contre Anvers, l'Inde ou Dubaï pour grappiller une part du gâteau, nous devons
nous battre pour développer le gâteau en expliquant aux consommateurs qu'un
diamant, c'est plus sérieux qu'un sac de luxe ou qu'un stylo Montblanc », lance
Eli Avidar, directeur général de l'Institut du diamant d'Israël, ancien
conseiller diplomatique d'Ariel Sharon. Pendant que les ouvriers de Chine et
d'Inde prennent du travail aux polisseurs israéliens, l'Institut vient de lancer
une campagne commerciale agressive pour vendre ses diamants aux consommateurs de
ces deux nouveaux pays en plein développement.
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